Rainforest, dernier marécage aux fins fonds de cet espace. La pirogue ne peut aller plus loin, la terre ferme n’est pas encore là. Un petit univers dérisoire dans l’immensité. Le bout du monde, au plus proche de nos racines. L’art numérique avec les nombreux outils à sa disposition, inspire ce sentiment d’infini où découvertes artistiques et philosophiques s’entrecroisent, aux confins de l’univers. La boite de Pandore est ouverte, rien n’y changera.
Pour cela, j’ai décidé d’appeler cette série « Jusqu’au bout du monde ». Souvenir de l’œuvre somptueuse de Wim Winders. « À l’aube du XXIe siècle, alors que la Terre est menacée par un satellite atomique dont on a perdu le contrôle, Claire Tourneur (Solveig Dommartin) va parcourir le monde à la poursuite de Trevor McPhee (William Hurt) dont elle est amoureuse. »