Cette photo a été prise le 23 juin 2018 lors du concert des Cats on Trees à la chambre d’amour Anglet (France).
J’aime beaucoup cette photo qui donne à Nina un air de Madone…
CATS ON TREES a trouvé l’osmose parfaite, c’est la voix envoutante et la virtuosité du piano de Nina Goern et l’énergique rythmique de Yohan Hennequin.
Ce duo de félins véritablement siamois, préfère la patte de velours aux coups de griffes, laissant à ses mélodies le soin de marquer les esprits d’empreintes redoutablement efficaces. Puissant et touchant. Des morceaux sauvages qui jouent les animaux familiers dès la première écoute.
Cette photo a été prise le 21 juin 2018, lors de la fête de la musique à Bayonne, Esplanade Rolland Barthe.
Je mets cette photo en vedette car c’est, à mon sens, une des plus jolies de la série de portraits d’Olivia (leader du groupe). Un portrait doux et féminin où se côtoient dynamique et allégresse. Cette photo joue avec les ombres et la lumière. Dans une atmosphère sans artifice elle laisse la femme, dans son travail d’artiste, seul élément sublimé de la composition.
Composé de 7 membres d’équipage, The Soul Enterprise, voyage dans l’espace musical des années 70 à nos jours avec des covers de James brown, Aretha Franklin, et d’autres plus contemporains comme Sharon Jones, Charles Bradley. Ils insufflent la fougue contestataire et l’énergie emblématique du Soul power. Embarquez à bord du rythme et de la chaleur torride de la musique de l’âme.
Merci Olivia
Cette photo a été prise lors de la 4e féerie vénitienne à Saint-Jean-de-Luz, le 10 juin 2018.
J’aime beaucoup cette photo qui semble directement tirée du film de Stanley Kubrik « Eyse wide shut ». On peut la regarder en écoutant la musique de Jocelyn Pook « Masked Ball » https://www.youtube.com/
Les masqué fabriquent eux même leurs costumes, ici ils ont été réalisés par une artiste remarquable à gauche sur la photo. Merci pour ce magnifique travail et votre grande sensibilité.
Cette photo est tirée du concert de Black Lilys, le 26 avril 2018 aux Écuries de Baroja à Anglet.
Black Lilys, c’est le doux mélange qui se créé naturellement, entre la voix déchirée de Camille (ci-dessus) et les mélodies sombres de guitare de Robin. A eux deux, ils nous livrent une dark pop puissante, aimant allier les contrastes. Ils saupoudrent le paysage musical de leur force sensible, nous invitant dans l’intimité d’une rage qui ne laisse pas indifférent. Leur tout premier album est sorti en mars 2018.
J’aime beaucoup cette photo car elle me fait penser aux tableaux du peintre De La Tour et son goût prononcé pour les jeux d’ombres et de lumières. Cette atmosphère envoûtante est renforcée par la prise de vue en contre-plongée qui magnifie l’artiste dans l’intime exercice de son art.
Photo prise lors du Festival Les beaux jours de la musique, au Casino municipal de Biarritz le 22 avril 2018. Dédicace de son tout dernier album
En cinquante ans de carrière, Monty Alexander a enregistré plus de 70 albums et joué avec les plus grands : Dizzy Gillespie, Sonny Rollins et Quincy Jones… Tous ont fait appel à son sens de l’improvisation exceptionnelle. Alexander s’est forgé une réputation d’explorateur et de passerelle entre le jazz américain, la chanson populaire, le gospel, le calypso et la musique de sa Jamaïque natale, le reggae. Figurant parmi les « 50 meilleurs pianistes de jazz de tous les temps »(Hal Leonard Publishing), ce jazzman virtuose séduit son public par sa personnalité vibrante, ses grooves effervescents et son swing jubilatoire. (Les beaux jours de la musique – Biarritz – 2018)
Photo tirée du spectacle « TERRA », proposé par la Compagnie Illicite de Bayonne, le 8 avril 2018, à l’église Notre dame des Forges de Tarnos. Sur une chorégraphie de Fàbio Lopez avec les danseurs Fàbio Lopez & Aureline Guillot (ci-dessus).
Cette photo rappelle une toile du peintre symboliste autrichien Gustav Klimt ; Le baiser (1907).
La couleur jaune du vêtement s’apparente à celle du tableau, évoquant le cycle d’or de l’artiste, nommé ainsi à cause de l’utilisation de feuilles d’or. De même que la peinture dégage une grande poésie et une forte intimité, soulignées par le drapage coloré et fleuri, ici le voile de la robe d’Aureline, relevé au dessus de sa tête, l’enveloppe comme dans une chrysalide dont les motifs floraux soulignent à l’identique, la joie et la féminité. Le tissu s’entrouvre, les bras se déploient, à l’instar des ailes d’un papillon à l’éclosion, … métamorphose, … éveil du printemps …