Temps suspendu, figé entre la beauté de la nature et la force des bouleversements globaux, sous une chaleur crépusculaire qui évoque une certaine urgence.
La jeune femme, calme et contemplative, semble en décalage avec ce qui l’entoure. Elle tente de saisir un instant pour apprécier ce qui demeure encore. Cette œuvre rappelle l’importance de s’arrêter, d’observer, avant que le temps ne nous échappe.
La mise en scène capture la tension entre l’éphémère et l’immuable. Elle souligne le fragile équilibre entre l’humanité et la nature.
Merci, Irène, pour cette inspiration.